samedi 3 novembre 2012

Vendredi 30 novembre : Conférence de Christine Pedotti au sujet de la bataille du Vatican 1959-1965.

 "Les coulisses du Concile qui a changé l'Eglise" paru chez Plon. 

Vendredi 30 Novembre : 18H30 à la Maison diocésaine de Limoges.


Christine Pedotti en peu de lignes

8 décembre 2008  Par Christine sur le site de la CCBF
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Libé en a menti, je n’ai pas encore 50 ans, mais ça ne saurait tarder. Je suis catholique, comme mes ancêtres, nés les uns dans l’âpre terre ardennaise, les autres dans le nord de l’Italie. Il paraît même que l’un des Italiens fut un célèbre garibaldien.
De l’enfance à aujourd’hui, l’Église catholique a été toujours été ma maison, mon héritage. Cet héritage, je l’ai reçu comme un cadeau et je me sens heureusement redevable de ce que j’ai reçu ; une foi qui fait tenir debout sur la Terre, la certitude d’être aimée au-delà de tout mérite, et la conviction que cette joie est à partager.
J’ai eu des engagements pastoraux, en catéchèse d’abord, puis comme responsable des aumôneries du Quartier Latin, et j’ai reçu une formation théologique dans la cadre de la Formation des Responsables du diocèse de Paris.
J’ai aussi fait des études d’histoire et de sciences politiques. J’ai découvert que j’avais le goût de l’écriture en participant à la création du journal Grain de Soleil. Puis en concevant et écrivant «Théo Junior », j’ai découvert ma vraie passion professionnelle et je suis devenue éditeur. J’ai dirigé le département religieux des éditions Fleurus-Mame pendant 13 ans et j’ai aussi créé des livres pour la jeunesse non-confessionels, comme de « Le Dico des Filles ».
J’ai toujours continué à écrire, principalement pour la jeunesse, toute la série « Théo » et quelques autres ouvrages, et plus récemment, j’ai publié, avec un ami, un polar, « La longue patience du sanglier », qui est un hommage à ma terre natale.
Et aussi, et surtout, je suis mariée depuis 28 ans avec un type formidable qui semble adorer mes enthousiasmes et mes passions, et qui les accompagne.


. Quels sont les objectifs de la CCBF ?

1. Susciter la conscience des baptisé-e-s
Comme l’indique son nom, c’est le baptême qui fédère les membres de la conférence. Si, à l’époque où la plupart des gens étaient chrétiens, le baptême a surtout été un signe, d’appartenance et d’identité, aujourd’hui, son aspect missionnaire est essentiel. L’Église de demain reposera sur des baptisés, et sur tous les baptisés.
Cette prise de conscience vitale est une entreprise de longue haleine.
- Elle suppose d’écarter la peur qui aujourd’hui paralyse l’Église.
- Elle se fait dans l’écoute, la communion effective, l’échange d’expériences, le soutien mutuel et se déploie dans la prise de parole.

2. Mettre chacun en situation d’inventer l’Église de demain
Ce qui se fera demain dépend d’aujourd’hui. Il est urgent que chaque baptisé se sente au plus vite responsable, adulte, qu’il quitte une culture d’assistanat ou, ce qui va de pair, de critique systématique. L’Église c’est lui.


3. Habiter la maison Église et contribuer à la faire vivre
Si l’Église, c’est nous, c’est donc « notre affaire ». Ce troisième objectif est de construction. A chacun, chacune, de se demander activement quels gestes sont porteurs d’une annonce véritablement évangélique et comment les mettre en œuvre, quelle attitude favorise la communion, quelles divisions il faut éviter de susciter ou de creuser.

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